Ah ça faisait longtemps qu’on avait pas fait un article de fond. Alors place à un vrai (on va essayer) article sur l’écofeminisme.
L’écoféminisme est à la mode. On en parle de partout. Multiplicité des podcasts à ce sujet. Recherches dessus, articles… Tant mieux. Il y a dire. Nous aussi on apporte notre petit caillou à cet immense édifice.
Si vous nous suivez sur insta c’est un sujet qu’on a déjà évoqué (si vous nous suivez pas suivez nous ! ICI). Donc pour repartir sur la genèse le terme écoféminisme a été inventé par Françoise d’Eaubonne en 1974. Françoise d’Eaubonne est cofondatrice du MLF, signataire pour le droit à l’avortement… On sent le côté féministe hein.
En femme importante dans le mouvement il y a aussi Vandana Shiva. Elle a reçu le prix nobel alternatif en 1993. Sa principale lutte est contre Monsanto. Cette indienne lutte activement contre le géant américain en aidant les agricult.eurs/rices avec d’autres graines. Alors malheureusement en Inde il y a du coton OGM mais bon elle lutte pour que la firme ne s’installe pas avec ses graines et ça marche.
Autre pionnière Starhawk, cette américaine a un côté « sorcière » et est une spécialiste des actions directes non violentes. Elle sa spécialité c’est la lutte contre la construction des centrales nucléaires.
Il y a bien-sûr d’autres femmes et nous n’avons parlé juste des 3 piliers. Mais c’est déjà bien pour bâtir une fondation !
Voilà merci aurevoir.
Non je blague. Dans le courant écoféministe deux grands courants « s’affrontent », l’essentialiste versus constructiviste. Donc l’un lié à la nature des femmes par leur rôle de mères, l’autre le fait de vivre dans une société patriarcale assigne les femmes à des rôles concrets différents de ceux des hommes. On est vraiment dans un deux salles, deux ambiances.
C’est un sujet tellement vaste et tellement intéressant et on en parle enfin, comme si maintenant on peut enfin allier écologie et féminisme.
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